17 juillet — Une journée ferroviaire

Lyon-Grenoble-Lyon
7h45- 9h11 - 11h26 - 12h42
Creative Yo la tengo compilé + journal du matin.
Je pense à Elk City et écoute New believers.
Faim sans doute.

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Lyon-Paris-Hendaye
13h - 15h03 - 15h50 - 21h13
Mémoires, rêves et réflexions de Marianne Faithfull. Tapes'n tapes ou Trost et vice versa.
14 + 4 + escalators et Re 1 cigarette.
Tout autour des portables avec Sims 2 plutôt qu'Excel. De l'Air et ReMémoires.
Au bout de 2h10, je craque et fonce au bar.
Tentative de hablo Español saison 2. Le Mans ne suffit pas.

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Topo Donostia
21h20 - 22h
Toujours pas de WiFi, assumé. Bien même.
St Michel, des gildas. Put the blame on me, tout va bien.

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Si vous avez aimé — en attendant le prochain billet 20 juillet — une nuit ferroviaire, je vous conseille l'article de Benoît Virot paru dans Le Tigre intitulé Paris-Rijeka : vingt-quatre heures dans un car.

[Mots-clefs du jour : xirimiri pluie]

Comments

[bakelith]

part one : pas si faim que ça
part two : 10 minutes de retard de train = 30-35 minutes de correspondance au lieu de 42-45 = courir et s'affaler dans le train qui part.
part three : incendie dans les landes = retard = arrivée tout juste avant la fermeture du bar à pintxos qui a inventé las gildas.
claro !